Le flood

Gaëtane a écrit:

La messe fût dite sur une musique de l’abbé Thoven.

Missa Solemnis ou Messe en ut ?

Très bon Gaëtane! Bravo.

Adelayde a écrit:

Gaëtane a écrit:

La messe fût dite sur une musique de l’abbé Thoven.

Missa Solemnis ou Messe en ut ?

La messe fût dite en ut par l'Abbé Thoven Le De Profundis fut chanté par l'Abbé Mol et l'Abbé Lière, les bien aimés chantres de l'abbaye. Le Père Cussionniste ne pouvait retenir ses larmes dans une telle atmosphère

Pour Gaëtane :

Excellent, Gaëtane !

Gaëtane a écrit:

Tant il est vrai que la collecte des impots nous fait tous maigrir !

Gaëtane a écrit:

Remèdes d'autrefois



Dans les temps anciens, face à la maladie, la première attitude consistait à avoir recours aux moyens naturels à portée de main. Ainsi, herbes, animaux, denrées diverses entraient dans la composition de nombreux remèdes, fruits de l’observation et de tâtonnements.

Bien entendu c’est comme un petit clin d’oeil et surtout pas pour que vous les essayiez. En cas de maladie, il va sans dire, vous devez vous rapprocher de votre médecin de famille.


Pour passer à côté du rhume ou de toute maladie l’hiver, on plaçait un oignon, épluché et coupé en deux, non loin de soi. Non loin du lit la nuit par exemple ou dans sa poche (mais là, il fallait oser).


Pour combattre la fièvre on trempait le petit doigt dans un oeuf frais

Pour guérir les rhumatismes on plaçait une pomme de terre dans sa poche. Le mal était censé disparaître au fur et à mesure que le tubercule se desséchait.

Pour guérir une entorse, on faisait une compresse de bouses de vache dans lesquelles on avait délayé deux jaunes d’oeufs et un demi-verre de vinaigre.

Pour faire disparaître une verrue, il fallait l’humecter chaque matin avec sa propre salive en étant à jeun. Il existait des variantes comme le fait de la frotter avec de l’ail, ou des haricots que l’on mettait en terre. Lorsqu’ils germaient, la verrue n’existait plus.

Pour les maux d’yeux, par exemple, on conseillait des bains de décoction de fleurs de sureau cueillies à la Saint-Jean.

Les maux de reins se soignaient à l’aide de compresses réalisées avec une tranche de citrouilles.

Pour les maux de gorge, rien ne valait la chaussette. On s’enroulait autour du cou une de ses
chaussettes (ayant passablement servi, cela va de soi).

Contre les maux de dents, je pense que tout le monde connaît le calva dans la carie, mais saviez-vous qu’autrefois on préconisait aussi un cataplasme d’ail pilé, voire un coton frotté sur de l’ail placé dans l’oreille du côté atteint.

Pour soigner les blessures, on rapprochait les bords de la plaie avant de placer dessus des pois de graines de chardon.

Soigner les insolations avec des compresses d’eau bénite.

Il existait aussi des remèdes préventifs comme ceux qui servaient à éviter les coliques pendant la moisson, par exemple. Il fallait manger du veau le jour de l’Ascension.


Des feuilles de rose trempées dans l'huile d'olive, mélangées à du jus de navet, sont radicales pour les cors aux pieds. Du savon râpé mélangé avec de la crème fraîche guérissait les panaris.
Lorsqu'on tuait le cochon, le fiel était conservé et servait à l'extraction des échardes.


Extraits de revues anciennes des Vosges et du journal d'Abbeville.

Et pour la reproduction ?

Extrait du dictionnaire humoristique de la médecine publié en 1939


ARTICULATION : entre deux os.
AUTOPSIE : dernière interview.
BRAS : le membre qu'on offre aux yeux du monde.
CARABIN : étudiant en médecine ainsi nommé parce qu'il tue avec le même succès qu'une carabine.
CÉCITÉ : point de vue.
CHIRURGIE : art de couper sans atouts.
CICATRICE : fermeture pour cause de réparation.
COMA : la fin du moi.
ÉMINENCE : montagne apostolique.
FÉCONDATION : l'annonce faite au mari.
FIÈVRE : le Congo chez soi
FRIGIDITÉ : sexe aphone.
GROSSESSE : preuve par neuf.
HÔPITAL : maison de santé ainsi nommée parce qu'on y met des malades.
HYMEN : clôture provisoire avant l'établissement d'une enceinte.
IMPUISSANT : nouveau continent.
LARMES : filet d'eau salée qui prend source dans le coeur pour aller se jeter dans un mouchoir de poche.
LUSTRE : période de cinq ans que l'on suspend au plafond.
LUXURE : se déboîter les sens.
MOIGNON : membre honoraire. NEUF : adjectif que l'on rencontre toujours entre huit et dix.
OPTICIEN : qui se fait payer très cher ce que les autres ont à l'oeil.
PENSÉE : fleurs à cinq feuilles qui pousse parfois dans la tête de l'homme.
PLACENTA : extrait de naissance.
QUINTE : l'accès de tout est un défaut
RHUME : tempête sous narine.
SUPPOSITOIRE : introduction à une philosophie nouvelle

Jeux de mots


ALLEMAGNE : Pays où un pharmacien à qui vous demandez un fortifiant vous répondra en vous parlant calmant.

ARRÊT-MALADIE : Certificat qui, lorsqu’il est en bonne et due forme, signifie que son bénéficiaire, lui, ne l’est pas.

ASSIDUITÉ : Pratique régulière qui doit cependant ne pas être prolongée excessivement. Par exemple, une personne qui ne saute jamais un repas risque de faire de l'assiduité gastrique.

BOUCHE À BABOUCHE : Technique de réanimation utilisée dans les pays musulmans, qui consiste à mordre violemment le pied de la victime.

BRAS DONNEUR : Geste effectué par le bras lorsqu’on le replie après avoir donné son sang.

CHIATIQUE : Sciatique auvergnate particulièrement douloureuse.

CHIRURGIEN DES ARMÉES : Médecin qui aime bien remuer le couteau dans l’appelé.

CHIRURGIEN ESTHÉTIQUE : Marchand d’âge.

FORMOL : Liquide permettant la conservation des corps, car si la vie est très dure, la mort est fort molle.

GASTÉROPODE : Spécialiste à consulter d’urgence en cas de gastro.

PROTHÉSISTE : Personne qui fait des pieds et des mains pour que ses patients puissent retrouver l’usage de leurs membres.


A bientôt    

Source : Marc Escayrol est l'auteur de ces définitions extraites de son Dictionnaire humoristique

Excellentes, tes définitions !

Ma préférée :

LARMES : filet d'eau salée qui prend source dans le coeur pour aller se jeter dans un mouchoir de poche.

Je vois que notre Gaëtane nationale s'est encore documenté !

Le permis de conduire



https://www.youtube.com/watch?v=E4Sbs_dJfoM

Ca se passait comme cela dans les années 50/60.  

Le comptage de la police : ex-cel-lent !

Ah ! les crêpes !



https://www.youtube.com/watch?v=oy-H9R2LEGY

Avec un p'tit coup de potion pour les faire descendre ?

Et encore une pile d'archives à consulter cette semaine...Pouiche !

C'est vraiment fort, lisez jusqu'au bout...




INCROYABLE, NON !

Sauf que cette histoire qui a circulé partout il y a quelques temps est fausse. A l'occasion, j'y mettrai le justificatif et moults contre-exemples.

Benny a écrit:

Sauf que cette histoire qui a circulé partout il y a quelques temps est fausse. A l'occasion, j'y mettrai le justificatif et moults contre-exemples.

Ok merci Benny

Benny a écrit:

Sauf que cette histoire qui a circulé partout il y a quelques temps est fausse. A l'occasion, j'y mettrai le justificatif et moults contre-exemples.

Sauf que fausse ou non, aucun d'entre nous n'a la moindre difficulté à lire ce texte... ce qui démontre malgré tout que la théorie n'est pas totalement débile. Cela dit on peut apporter des correctifs à tout... http://www.sauv.net/cmabrigde.php

Demain matin, 4 dents vont être exécutées. Les miennes.

Ô Grand Druide, ce n'est rien ...Juste une petite extraction SANS anesthésie tout en gardant le sourire...Et hop !

Merci, les amis, sympa !

Non, contre Elles !