Préparatifs d'une exécution française à la guillotine, le bourreau français, Anatole Joseph François Deibler, ouvre les portes d'une maison de transport où une guillotine portable est conservée dans une calèche (Fourgon). Il entre et est suivi d'une limousine noire. Ensuite, nous le voyons marcher lentement le long d'un quai de gare ferroviaire, à côté d'un train de wagons de marchandises. Le Fourgon, un attelage fermé, contenant la guillotine démontée (invisible) se trouve sur un wagon plat. Il est noir et recouvert d'une couverture noire. Ses quatre roues en bois sont attachées aux coins du wagon. M.Diebler marche le long de la plate-forme du train, se couvrant le visage avec un mouchoir. La scène se déplace vers une personne balayant le sol à l'intérieur d'une zone fermée par des portes en fer noir. Ensuite, hors séquence chronologique, un cheval blanc tire l'entraîneur du bourreau le long d'une rue pavée. La scène revient à nouveau, à M.Diebler se promenant au dépôt de train. Un ouvrier est vu en train de nettoyer les roues du Fourgon avec un tuyau d'eau. M. Diebler se tient sur la plate-forme à côté d'un cheminot en uniforme. Un bâtiment est mal vu. De retour à la plate-forme ferroviaire, le Fourgon est prêt. Une porte arrière est cadenassée par M. Diebler. L'entraîneur est ensuite vu tiré par le cheval le long d'une rue de la ville. Les spectateurs regardent depuis les trottoirs et certains depuis les fenêtres donnant sur la rue. L'entraîneur entre dans une enceinte. Dans la scène finale, l'entraîneur est de retour sur le wagon, recouvert de noir, avec ses roues attachées aux coins du wagon.
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