Guillotine et humour

J'aimerais suggerer d'avoir un sujet ou tous les membres pourrait écrire les blagues qu'ils connaissent qui ont un rapport avec la guillotine, créant ainsi une liste complète avec le temps...

Bon, une vielle blague mais au cas ou...

Trois hommes sont condamnés a la guillotine et on les amène dans la cour de la prison pour subir leur châtiment. On bascule le premier et on lui met le cou dans la lunette. Le bourreau tire la poignée et surprise, la lame s'arrète a 30 cm de son cou. On lui annonce alors qu'on doit le relâcher car il a eu son tour et il a survécu. Il quitte la prison en courant.

On amène alors le deuxième condamné, on le place dans la machine et tire la poignée. Eh bien oui, la lame s'arrète a 25 cm de son cou et il est lui aussi relâché.

On arrive alors pour y amener le troisième condamné et il résiste, en criant "Pas question de mettre ma tête dans cet engin avant qu'il soit réparé!"

Condamné à mort qui clame son innocence.
Arrive devant la guillotine et crie:
Je ne suis pas coupable!
Le bourreau répond:
C'est bien ce qu'on va voir!

Très bonne blagues.

En voici une autre :

Alors qu'il est sur le point d'être éxécuté, un condmané à la guillotine voit débouler un facteur qui a une lettre pour lui.
"Mettez là dans la corbeille, dit le condmané, je la lirai tout à l'heure à tête reposée".

Lu cette réplique du célèbre chroniqueur d'exécution Géo London.

Alors qu'il assistait à une exécution, il vit l'avocat du condamné arrêté aux différents barrages de police et se fâcher tout rouge contre les policiers en criant: "laissez-moi passer; je suis l'avocat du condamné!"

A quoi Géo London, le reconnaissant, répondit: "Oui, laissez-le passer, c'est le fournisseur !"

OUCH, bien dégagé derrière les oreilles !!! :afro:

https://www.youtube.com/watch?v=NJ0sl3C-7wA

Très bon!

Bonsoir à tous, je vous livre une blague sympa trouvée sur le net

Un condamné ayant la tête sur la guillotine crie son innocence :
- "Je ne suis pas coupable!!"
Le bourreau :
- "On va s'en rendre compte tout de suite."

Et celle-là:

Un homme est condamné à passer sur la chaise électrique pour avoir tué intentionnellement de nombreuses personnes avec sa voiture.

Le bourreau actionne la manette...Rien ne se passe. Il vérifie tous ses branchements et recommence...A nouveau rien ne se passe.

A ce moment, hilare, le condamné lui dit: "Je vous l'avais bien dit que j'étais un mauvais conducteur".

Vraiment trés bien, j'ai déjà vu cette blague mais je ne me souviens plus du site

Ce qui fait penser à la maxime favorite de Louis XVI:

Il faut garder sa te^te froide pour ne pas la perdre.

excellent

Bonsoir à tous,


Une petite blague...

Cela fait trois fois que le couperet de la guillotine tombe, cela fait trois fois qu'il rebondit sur le cou du

condamné.

Le juge, les avocats, l'aumônier, le bourreaux, tout le monde s'arrache les cheveux.

Le condamné, lui, est très guilleret et dit :

" Vous ne vouliez pas me croire, quand je vous disais que je n'étais pas coupable !"

Un religieux, un voleur et un ingénieur sont condamnés à la guillotine...

Le religieux demande a mourir la tête face au ciel pour regarder dieu en face, on l'exauce et le couperet tombe...mais stoppe à quelques cm du malheureux.
C'est un prodige, un signe du ciel. La volonté du seigneur. On gracie le prêtre.

Le voleur demande aussi à regarder le ciel plutôt que le panier, pour voir jusqu'au dernier moment les cieux ou il va se rendre. Le couperet tombe, et comme pour le prètre, stoppe à quelques cm du condamné. Stupeur de l'exécuteur et des officiels. Dieu a pardonné au voleur. On le gracie.

Arrive le tour de l'ingénieur, qui demande aussi à mourir le visage tourné ver le haut, mais plus pour admirer cette belle mécanique qu'est la machine.
On le bascule, et une fois la tête dans la lunette, il pousse un cri avant que ne s'abatte le couperet :


-"STOP, STOP !!! ATTENDEZ !"

Étonnement de l'assistance...L'exécuteur de penche vers l'ingénieur qui lui sourit, béat :

-"Je vois d'où viens le problème, je vous répare cela facilement !"

Morte de rire

Réinitialisez !
Dans une voiture, il y a quatre ingénieurs : Un mécanicien, un électronicien, un chimiste et un informaticien. Tout à coup, la voiture s'arrête et le moteur s'éteint. Le mécanicien dit : - Je le savais, c'est un problème de transmission. - Mais non, dit l'ingénieur chimiste, c'est la faute des acides de la batterie ! - A mon avis c'est le circuit électronique qui ne marche plus ! Dit l'électronicien. L'informaticien en dernier : - ...et si on essayait de fermer toutes les fenêtres, de sortir et après de rentrer à nouveau ?

Oui, ça me rappelle la logique de ce p..ain d'ordinateur quand il plante sans raison...

CARNIFEX a écrit:

Oui, ça me rappelle la logique de ce p..ain d'ordinateur quand il plante sans raison...

comme disent les informaticiens au boulot l'erreur fatale ce situent entre le clavier et la chaise

La veuve et ses « marris »

Images de la guillotine dans le dessin de presse et d’humour au xxe siècle

Cette étude est accessible ici : http://www.cairn.info/revue-societes-et-representations-2004-2-page-191.htm

Résumé de l'article : L’instrument de la peine capitale est trop chargé de pathétique, collectif ou privé, pour ne pas figurer en bonne place dans la galerie des images fantasmées. Parce qu’elle est, pour les Français, liée à la Révolution, la guillotine a été représentée de façon plus ou moins réaliste dans des images à finalité documentaire directe (témoignages d’époque) ou au second degré (livres d’histoire, documents de commémoration...). Jusqu’à l’abolition voulue par François Mitterrand, la guillotine est aussi l’instrument emblématique de l’institution judiciaire en général. Les dessinateurs ont déployé leur verve iconique pour renouveler cette représentation métonymique. À ce corpus, il faut ajouter des analogies encore plus générales qui, au moyen d’une hyperbole, traduisent une justice au sens le plus large du mot (au-delà de la pratique judiciaire). Un ensemble très passionnant regroupe les dessins et les textes sur « la veuve » mise en question. En effet, l’histoire des combats des abolitionnistes se lit à travers l’iconographie et les articles de la presse ou des affiches militantes, au gré des fluctuations de l’opinion en fonction des grandes causes criminelles. Enfin, la guillotine a donné aux amateurs d’humour noir bien des occasions de sourire, qu’on ne saurait oublier.

*Au moment où le condamné a la tête sous la guillotine, il devrait y avoir un silence avant que le couteau tombe. Un garde républicain sortirait des rangs et remettrait une lettre au bourreau et celui-ci dirait au condamné: "C'est ta grâce!" Et il ferait tomber le couteau. Ainsi le condamné mourait dans la joie.
Jules RENARD (1864-1910)

*"Qu'est ce que l'ordonnance de janvier 1847?
-C'est l'ordonnance Dunoyer de Segonzac par laquelle il est rappelé aux condamnés à mort qu'une exécution est un évenement sérieux.
-Est interdit de rire ou de plaisanter sur l'estrade pour provoquer la gaîté du public."
Jean GIRAUDOUX (1882-1944)

*A vendre, couperet guillotine, rigoureusement stérilisé afin d'éviter toute infection.
Pierre DAC (1893-1975)

*Thèse, antithèse et prothèse : il faut recapiter Louis XVI.
Jacques PREVERT (1900-1977)

*La Révolution, la Révolution, c'est toujours la même chose, on a choisi de couper la tête à un roi qui n'en avait pas.
Henri JEANSON (1900-1970)

*Plaider l'irresponsabilité en cour d'Assises, c'est tenter de convaincre un jury de ne pas envoyer un criminel à la guillotine parce qu'il n'a pas toute sa tête.
NOCTUEL (1923)

*Sur l'échafaud, ce bourreau avait en plus la voix tranchante.
Lionel CHRZANOWSKI (1958)

*On a vu des hommes monter sur l'échafaud, n'ayant que ce moyen pour s'élever au-dessus des autres.
Emile PONTICH (XXème siècle)

*Mon père disait que je mourrais un jour sur l'échafaud. Maman protestait pour la forme
-"Ne voyons pas tout en noir, il sera peut-être gracié."
Fernand TRIGNOL (XXème siècle)

*L'exécuteur Deibler avait de la sympathie pour Lucien Guitry, qui déclara :
"C'est normal, ma tête lui revient."

(Source guillotine.voila)

Au lendemain d'une guerre, c'est trois têtes qui s'apprêtent à tomber.
Le bourreau demande au premier de s'avancer et s'il le souhaite, de déclarer ses dernières paroles.

C'est un Allemand :

- "Ja ! Vous les petits franzosen, vous ne valez rien à la bataille, j'ai pacifié vos villages et j'ai tout brûlé à moi tout seul !"

Il part à la bascule, et au moment où le bourreau actionne le couteau, celui se bloque 1 cm au dessus du cou !

-"m**de ! Bon, vous êtes gracié !" dit le bourreau.

Le second, un Italien, on lui demande à son tour s'il a quelque chose à déclamer :

-"Si ! Ma Je voudrai dire que je me suis beaucoup amusé durant cette guerre. J'ai mis à sac, à feu et à sang tout le Sud de la France, tué,violé et pillé tout Marseille !"

Basculé à son tour, tête enfoncé dans la lunette, le bourreau fait tomber le couteau mais qui s'arrête 1 cm au dessus du cou du condamné !

- " Ah Damnation ! Vous voilà gracié aussi vil gredin !" s'écrit le bourreau.

Enfin le troisième, un Belge, se voit proposer à son tour de partager une dernière remarque :

- "Oufti ! Bien sûr que j'ai une remarque à faire. Vous vous croyez malin vous autres les Franskillons, mais Mr le bourreau, si vous retiriez le goupillon qui gène, ça fonctionnerait-il pas mieux un peu ?!!

('

Un condamné à mort est amené dans la salle où se trouve la chaise électrique.
Tremblant, il s'adresse au bourreau et lui demande: dites-moi comment çà marche?
L'exécuteur lui répond: asseyez-vous cher monsieur, je vais vous mettre au courant !