Bonjour; à votre question je pourrai vous proposer deux bons livre en espagnol du même êcrivan:
EL ARTE DE MATAR et l'autre VERDUGOS ESPAÑOLES (Ed. Alfaguara) de Daniel Sueiro. Deux bijoux dans le genre.
Ils sont assez dificil de trouver et quand on les trouvent, ils sont chers.
Dans le premier livre, Daniel Sueiro fait un parcour des systemes pour donner la mort lègale autour de l'histoire et selon les pays. Dans le second, c'est une spece de curriculum vitae des differents bourreaux espagnols depuis les siecles jusqu'à 1972, sans oublier, en faisant comparaisons des salaires, buts, réputations,... à ses camarades français, allemands, anglais,..
Ici, en Espagne, les motifs des bourreaux pour "choisir" le metier, etait toujours l'economique. Provenant des regions, familles, economies et cultures basse-basse et marginales, pour avoir une toute petite possibilitée de se stabiliser economiquement, ils preferent "TUER PAR ARGENT QUE MOURIR DE FAIM" (Antonio López Guerra, bourreau de Madrid jusqu'à l'abolition).
Comme c'est facile de comprendre, tout celà c'etait relatifment croyable, car un bourreaux des années '70, avait un salaire à peut-près ou moins qu'un O.S. de chantier sans experience; aujourd'hui seriait autour de 700 euros/mois et une prime par éxécution.
Alors, ce n'etait pas extraordinaire de leur trouver, entre chaque fois plus rare execution et execution, en faisant des petits travail de toute sorte: triporteurs, maçons à domicile, plombiers, vendeurs déambulants,... sans oublier que la plupart, ayant peur d'être reconnues, faisaient tout ça que je vient de vous dire, que par de petits période de temps; donc la marginalité était son moyen de vie.
Les croyances réligieuses n'ont été jamais une barriere pour ne pas exercer le metier de bourreau ou pour tuer d'autres semblables.
Comme example de ça, en continuant avec les bourreaux espagnols, Bernardo Sánchez Bascuñana, bourreau de Sevilla, se croyait choisi par Dieu pour exercer son métier; il se promenait par Grenade ou il habitait, avec l'air mélange d'un moine et un aristocrate; il s'a fait imprimer une carte de visite avec son nom et son metier "Administrador de Justicia" (Administrateur de Justice). Quand il devait aller à casser le cou d'un comdané. il disait:
-Merci mon Dieu pour m'avoir choisi pour lui faire traverser à ce malheureux les portes de l'eternitée"
El Señor Bernardo.
Vicente Copete, Bernardo Sánchez et Antonio López
et voilà les derniers bourreaux dans le film "QUERIDÍSIMOS VERDUGOS" (1973).
Il y a eu un autre aprés (José Moreno) mais il n'avait pas la place à l'heure du film,
alors il n'a pas sortit dans la photo.
Bonjour.
Roberto.