Oui, je trouve que c'est de l'humour noir.
L'avocat invoque peut être le fait que l'allergie au produit risque de causer une souffrance au condamné, ce qui serait en infraction avec l'obligation de tuer sans faire souffrir.
Maintenant, s'il y avait vraiment allergie, je doute que sa durée soit significative avant le trépas.
C'est comme si l'avocat d'un condamné à la guillotine indiquait que son client serait étranglé lorsque son cou serait dans la lunette...
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Potius mori quam foedari