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 Hippolyte Hoyos - Le mort sur le rail - 1889

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Adelayde
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MessageSujet: Hippolyte Hoyos - Le mort sur le rail - 1889   Hippolyte Hoyos - Le mort sur le rail - 1889 EmptyDim 27 Sep 2015 - 14:12

HIPPOLYTE HOYOS

LES FAITS

Hippolyte Hoyos - 45 ans, fils de riches fermiers belges ayant dépensé sa fortune. Tue de plusieurs coups de couteau et défigure le 2 novembre 1888 le nommé Louis Baron à Chantilly sur un pont surplombant la ligne Paris-Beauvais et jette le cadavre sur la voie ferrée. Mobile : se faire passer pour mort et prendre l'identité de sa victime, qui lui ressemblait beaucoup !

Condamnation : 15 juin 1889
Exécution : 10 août 1889.

Source – le site de Sylvain Larue / Nemo :

http://guillotine.voila.net/Condamnations1870-1981.htm
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L'ASSASSINAT DE LOUIS BARON

La nuit du 2 au 3 novembre 1888, un cadavre affreusement mutilé est découvert sur une voie de chemin de fer aux environs de Chantilly en France. Les enquêteurs concluent d'abord à l'assassinat de H.H. par Louis Baron. Il ne faudra qu'une semaine aux enquêteurs français, et belges, pour changer d'avis, on se trouve en présence de l'assassinat de Louis Baron par Hippolyte Hoyos. Le mobile est simple, tricherie à l'assurance vie par substitution d'identité.

L'histoire est décrite en long et en large dans le roman d'Alfred Gallez, publié en 1963 : "Le mort sur le rail". J'en possède un exemplaire. Le mort, c'est notre aïeul, c'est donc lui notre centre d'intérêt. Louis Baron est l'arrière grand-père de Marthe Honoré.

Que dit-on de Louis Baron ?

Il est blond et porte la moustache. Interrogé, Jean-Baptiste Plichard habitant Elouges, époux de Joséphine Baron une des sœurs, dira de lui : "C'est un homme qui n'a pas eu de chance, il est parti en France afin de rejoindre Hippolyte Hoyos, le fermier de Boussu devenu chef de culture dans une propriété aux environs de Paris." Louis sera vacher. Jean-Baptiste ajoute à destination des gendarmes : "ce pauvre estropié souffreteux, faible et sans grande malice est incapable de commettre un acte aussi abominable. Louis Baron ne ferait pas de mal à une mouche. Questionnez les gens du canton, vous verrez dans quelle estime il est tenu, malgré son penchant trop prononcé pour la bouteille."

Louis Baron sera inhumé au cimetière de Chantilly.

Estropié, Louis Baron ! En effet, cela sera confirmé par des propos de H.H. : "Je me suis intéressé à Louis Baron par hasard, au cours d'un congé passé dans son pays, un accident de la route se produit sous mes yeux. Un homme renversé par un cheval ombrageux git sur la chaussée, la jambe brisée. En s'approchant, je reconnais en la victime un pauvre charbonnier, Louis Baron, que j'avais connu autrefois. Celui-ci séparé de sa femme, abandonné de sa famille, vivait dans une infecte cabane au bout du village. Atteint de la maladie des fosses, il se trouvait dans le plus complet des dénuements. Il entretenait quelques jardins de notables pour la pitance et une maigre rétribution qu'il s'empressait de dépenser dans l'un ou l'autre cabaret." H.H. avait alors payé le médecin et les médicaments et finalement lui avait proposé cette place de vacher. Et pourtant selon le juge d'instruction, l'estropié, ivrogne, Baron a la capacité d'écrire de bien belles lettres. Et voilà sa signature, sur l'acte de naissance de l'un de ses enfants.

H.H. comparaît devant ses juges le 13 juin 1889, à Beauvais. Au procès, Joséphine Baron, sa sœur, témoignera : "Mon frère était séparé de sa femme et de ses enfants depuis sept mois quand il eut la jambe cassée au cours d'un accident. Il vivait à ce moment au petit bonheur, logeant au hasard du travail. Deux jours par-ci, deux jours par-là, le plus souvent dans des granges ou des remises."

H.H. était-il coupable ? Il n'a jamais avoué ! Le jury populaire de la Cour d'assisses de l'Oise, convaincu de sa culpabilité, le condamna à mort. Hippolyte Hoyos sera guillotiné le samedi 10 août 1889 sur une des places publiques de la ville de Beauvais.

++++---+++++++---++++

LE CRIME DE CHANTILLY
--------
COUR D'ASSISES DE L'OISE

C'est aujourd'hui que Hoyos, l'assassin de Chantilly, comparait devant la Cour d'assises de l'Oise. Dans notre numéro d'hier, nous avons publié tous les détails du crime.

A côté d’Hoyos, sur le banc des accusés, prendra place sa maitresse, Alphonsine Figue. Malgré les charges qui pèsent sur lui, l'accusé persiste à soutenir qu’il n'est point l'assassin du malheureux Baron, dont le cadavre fut trouvé à Chantilly. Hoyos avait connu Baron en Belgique. Or, après le crime, se trouvant momentanément sans ressources, il avait dû entrer comme domestique dans un hôtel des environs de Valenciennes et il s'y présenta en exhibant le livret de Baron.

D'autre part, le jour de son arrivée à Valenciennes, ayant rencontré près de la gare un sieur Bataille qu'il ne connaissait pas, il lui fit cadeau d'un paquet renfermant une redingote, deux gilets, des chaussettes et des souliers : or, ces objets avaient appartenu à Baron. Hoyos a les antécédents d'un malfaiteur des plus dangereux : il a été condamné six fois dans son pays, en Belgique.

Nous avons expliqué que c'est pour toucher, par l'intermédiaire de sa maitresse ou de ses enfants, une prime d'assurances sur la vie s'élevant à 200,000 francs, qu'il a assassiné Baron, à qui il avait fait revêtir ses habits et sur lequel il avait placé des papiers destinés à laisser supposer que l'homme tué, c'était lui, Hoyos.

L'affaire occupera trois audiences. M° Decori présentera la défense de l'accusé.

Le Petit Parisien, n° 4 612 du 14 juin 1889

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Le Palais de Justice de Beauvais

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Dernière édition par Adelayde le Lun 28 Sep 2015 - 15:11, édité 2 fois (Raison : La mise en page : arrachage de cheveux !!)
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MessageSujet: Re: Hippolyte Hoyos - Le mort sur le rail - 1889   Hippolyte Hoyos - Le mort sur le rail - 1889 EmptyDim 27 Sep 2015 - 15:01

UNE EXÉCUTION A BEAUVAIS

A l'heure où paraîtront ces lignes, Hoyos, l'assassin du malheureux Baron, aura été exécuté à Beauvais.

Rappelons en quelques mots le crime qui a eu un retentissement énorme :

Le 3 novembre, on découvrit sur les rails du chemin de fer du Nord, sur un pont situé un peu au delà de Chantilly, le cadavre d'un homme ; la tête était criblée de blessures, les pieds coupés.

Le Parquet fut aussitôt prévenu. On inspecta la voie et le pont, et l'on arriva aisément à se convaincre qu'il y avait eu assassinat. La victime avait été frappée sur le pont, puis précipitée sur les rails. Le meurtrier espérait qu'un train en marche écraserait le cadavre et ferait ainsi disparaître les traces du crime. Ses calculs avaient été trompés ; les pieds seulement avaient été coupés. Les initiales dont le linge était marqué, les vêtements et divers papiers firent croire que la personne assassinée n'était autre que le sieur Hoyos, ex-régisseur du comte de Roverolis, au château de Poigny, près Rambouillet.

D'ailleurs, trois jours après la découverte du cadavre, une femme qui passait pour être Mme Hoyos, alors qu'elle n'était que la maitresse du régisseur, écrivait à une amie pour lui exprimer ses craintes au sujet de la disparition de son mari qui l'avait quittée, disait-elle, en emportant une forte somme d'argent et qui pouvait bien avoir été victime d'un malheur.

Il n'y avait plus à douter c'était bien Hoyos qu'on avait trouvé assassiné.

Mais, presque en même temps, un malencontreux ami de la prétendue victime s'avisa d'apporter au magistrat instructeur la photographie de l'ex-régisseur : or, il n avait pas la moindre ressemblance entre Hoyos et l'individu dont le cadavre avait été découvert. Hoyos était en effet non la victime, mais l'assassin ; l'instruction l'établit rapidement. La victime, c'était un pauvre diable nommé Baron, d'origine belge comme Hoyos, et que celui-ci avait autrefois employé chez le comte de Roverolis comme vacher.

Hoyos fut, après maintes recherches, retrouvé en parfaite santé à Valenciennes où il se cachait.

Le mobile du crime fut aisément dégagé : Hoyos, pour toucher par l'intermédiaire de sa maîtresse ou de ses enfants une prime d'assurances sur la vie s'élevant à 200,000 francs, avait voulu faire croire à sa mort, et dans ce but il avait assassiné le malheureux Baron, après l'avoir revêtu de ses habits.

Hoyos passa devant la Cour d'assises de l'Oise et fut condamné à mort le 15 juin dernier, après des débats très mouvementés. Le condamné a toujours protesté de son innocence.

N
ous recevons la dépêche suivante de notre correspondant :

Beauvais, 8 novembre.
M. Deibler, le bourreau, est arrivé à cinq heures avec ses aides.
Les bois de justice sont arrivés à la gare à huit heures.
Le bruit de l'exécution a couru dans la ville quelques heures après l'arrivée du bourreau.
Les curieux commencent à se rendre sur le lieu de l'exécution.
La dernière exécution qui a eu lieu à Beauvais est celle de Prosper Lavisse, le 2 novembre


Le Petit Parisien, n° 4 669 du 10 août 1889



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++++---+++++++---++++

À BEAUVAIS

Comme nous l'avons dit dans notre dernier numéro, Hoyos devait être exécuté hier matin à Beauvais. Mais le bourreau, M. Deibler, s'est trouvé brusquement malade, et on a été forcé de remettre la funèbre opération. Nous recevons à ce sujet la dépêche suivante de notre correspondant particulier :

Beauvais, 9 août.
Une indisposition subite du bourreau a empêché l'exécution qui devait avoir lieu ce matin.
Elle aura lieu demain matin.
Une foule considérable afflue vers Beauvais.
Hoyos seul ne se doute de rien.
Ce matin encore il se croyait certain d'être l'objet d une mesure de clémence de la part du Président de la République.

Le Petit Parisien, n° 4 670 du 11 août 1889


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L'EXÉCUTION D'HOYOS

Hoyos, l'assassin de Baron à Chantilly, a été exécuté hier matin, à Beauvais, au lieu ordinaire des exécutions, sur la place du Franc-Marché. Depuis plusieurs jours, on savait que le Président de la République avait repoussé le pourvoi du condamné à mort et que Hoyos serait guillotiné. L'ordre avait été transmis mercredi dernier au bourreau de se rendre au chef-lieu du département de l'Oise et d'exécuter la sentence vendredi matin.
Nous avons dit qu'à la suite d'une indisposition subite de M. Deibler, l'exécution fut remise au lendemain. Tous ces ordres et contre-ordres avaient transpiré dans le public. Avant hier soir une foule considérable se pressait sur le lieu de l'exécution.
LE LIEU DE L'EXECUTION

La place du Franc-Marché est située à l'extrémité de la ville, à quelques mètres des anciens remparts. C'est un vaste rectangle, bordé d'arbres séculaires. L'herbe y pousse. A une heure du matin le bourreau s'est rendu avec ses aides à la gare où avait été laissé le fourgon contenant les bois de Justice. La voiture a été amenée sur le lieu de l'exécution et aussitôt le montage de la machine a commencé.

L’affluence des curieux augmentait de plus en plus. Bientôt il se forma autour de M. Deibler et de ses aides un cercle assez étroit. Des gendarmes avaient peine à maintenir la foule dont les rangs se resserraient peu à peu. Le bourreau fut obligé à deux reprises de demander qu’on refoulât le public. Cependant, à mesure que la guillotine se dresse les curieux continuent à arriver. Mais le ciel s'éclaircit et le petit jour parait. A ce moment deux bataillons du 51ème régiment de ligne sous la direction d'un lieutenant-colonel viennent se ranger sur la place et l'ordre leur est donné de la faire évacuer. Cette opération ne se fait pas sans difficultés, enfin le public est refoulé et les soldats forment la haie, laissant libre un très grand espace autour de la guillotine.

Il est quatre heures et demie, il fait grand jour, la machine est entièrement montée ; le couperet essayé à plusieurs reprises joue bien dans ses rainures. C'est l'heure d'aller réveiller le condamné.
LE RÉVEIL OU CONDAMNÉ

La prison est distante de cinq minutes environ de l'endroit où aura lieu l'exécution. Lorsque M. Deibler y pénètre avec le fourgon dans lequel Hoyos sera transporté tout-à-l'heure les magistrats sont déjà arrivée. Il y a là MM Fayet, procureur de la République ; Gaillard et Laur, juges d'instruction ; Hattat, directeur de la prison ; M° Gaussln, avocat de Hoyos qui a assisté M° Decori au cours du procès ; l'aumônier, M. Cloverie, etc. Toutes ces personnes se rendent dans la cellule d'Hoyos qui est située au premier, dans un bâtiment central. On franchit la porte de la cellule dans laquelle dorment le condamné à mort et deux détenus. Au bruit que font les magistrats en entrant, Hoyos qui sommeillait doucement, se dresse sur ton séant. Le Procureur de la République s'avance :

- Hoyos, dit-il, votre pourvoi en grâce a été rejeté, ayez du courage.

Le condamné est pris d'un petit tremblement, ses yeux deviennent fixes ; il s'écoule quelques secondes sans qu'un muscle de son visage tressaille.

- J'en aurai, finit-il par répondre. Il ajoute : "Donnez-moi mon pantalon", et il se lève.

A partir de ce moment Hoyos a la pleine possession de lui-même, il est résigné, absolument calme, aucun signe de faibles ne se produira chez lui. Le juge d'instruction lui demande s'il n'a rien à lui dire.

- Non, répond Hoyos, mais c'est égal, je n'ai pas mérité cela.

Il demande à rester seul avec l'aumônier. Chacun se retire. Le prêtre et le condamné à mort demeurent ensemble environ dix minutes ; après quoi, Hoyos est conduit dans la salle du greffe. On s'engage dans un défilé de couloirs et d'escaliers froids et humides ; enfin on arrive au greffe. On fait asseoir Hoyos et M. Deibler lui attache les mains derrière le dos, l'entrave et lui coupe le col de la chemise. Hoyos est gros et corpulent. Il a la tête énorme, le cou enfoncé dans les épaules, les membres robustes. Les cheveux coupés ras sont mêlés de fils blanc, il porte la moustache. M° Gaussin, l'avocat d'Hoyos, que le condamné à mort a institué son exécuteur testamentaire et auquel il y a quelques jours, il a adressé une lettre dans laquelle il fait connaître ses dernières volontés, s'approche de lui et l'exhorte au courage, au repentir.

- Hoyos, lui demande-t-il, vous repentez-vous du crime que vous avez commis ?

- Je me repens de tout ce que J'ai fait dans ma vie, répond le condamné. Mes enfants, mes pauvres enfants ! …qui en prendra soin maintenant ?


Les magistrats lui assurent qu'ils ne seront pas abandonnés. On veut lui donner à boire un verre de rhum, mais Hoyos, qui déjà les mains liées derrière le dos, dit :

- Laissez-moi la main droite libre, au moins.

On le détache et il boit. M. Deibler, cependant, a signé le livre d'écrou. On fait monter le condamné dans le fourgon, qui se dirige vers le lieu de l'exécution. Des gendarmes escortent la voiture.
L’EXÉCUTION

Pendant le trajet, Hoyos n'a pas perdu un seul moment son assurance. Debout dans la voiture, entouré des magistrats, il n'est nullement abattu. Il aperçoit un capitaine de gendarmerie, M. Mathieu, de Senlis, qui avait assisté à une confrontation pondant l'instruction.

- Tiens, dit-il, voilà un capitaine que je connais ; est-ce qu'il n'est pas de Senlis ?

- Oui, lui répond-on.


Mais le fourgon est arrivé sur la place du Franc-Marché. Il est cinq heures précises, le jour est éclatant. On entr’ouvre les rangs de la foule et la victime s'arrête à quelques mètres de l'échafaud. Sur la place, pas un bruit ; c'est la minute solennelle. La porte du fourgon s'ouvre, les magistrats, le bourreau et ses aides descendent. On assujettit le marche-pied et Hoyos met pied à terre. Il jette un regard rapide sur le couteau. Il n'y a pas sur son visage cette lividité habituelle à la plupart des condamnés à mort marchant à l’échafaud.  Hoyos a une sorte de pâleur naturelle.

M. Gaussin l'embrasse sur les deux joues, l’aumônier lui dit tout bas quelques paroles et l’embrasse à son tour. A ce moment, les aides le saisissent, enlèvent la veste qu'il a sur les épaules et le jettent sur la planche qui bascula. Trois secondes s'écoulent, un coup sourd retentit. C'est fini… Justice est faite.

Immédiatement le panier renfermant le corps du supplicié est porté dans le fourgon qui se rend au cimetière des Capucins, situé tout proche du lieu d’exécution. Le corps est placé dans une bière et enterré dans un angle du cimetière où une fosse a été creusée d'avance. Aucune expérience n'a été faite sur le cadavre, le condamné ayant dans son testament demandé que son corps fût épargné. La foule s'est lentement écoulée, profondément frappée de l'attitude de résignation d'Hoyos et du courage qu'il a montré.

On raconte que le supplicié avait obtenu de son avocat qu'il le prévint sitôt qu’il connaîtrait le jour de l'exécution, et que l'avocat a tenu parole. Hoyos, depuis deux jours, savait que tout espoir était perdu et qu'il n'avait plus qu'à mourir.

Le Petit Parisien, n° 4 671 du 12 août 1889
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Dernière édition par Adelayde le Lun 13 Fév 2017 - 23:09, édité 2 fois (Raison : Le Petit Parisien, n° 4 671 du 12 août 1889)
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MessageSujet: Re: Hippolyte Hoyos - Le mort sur le rail - 1889   Hippolyte Hoyos - Le mort sur le rail - 1889 EmptyMer 7 Oct 2015 - 16:43

LE PROCÈS

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Journal de l’Ain, 17 juin 1889

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Le mort sur le rail. L'affaire Hoyos ou Le drame
mystérieux de Chantilly - Alfred Gallez

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MessageSujet: Re: Hippolyte Hoyos - Le mort sur le rail - 1889   Hippolyte Hoyos - Le mort sur le rail - 1889 EmptyVen 23 Oct 2015 - 14:28

"Un mort sur la voie ferrée". Pierre Bellemare ouvre pour nous l'extraordinaire dossier de l'affaire Hippolyte Hoyos :

https://www.youtube.com/watch?v=FizPwCDBVyw

Bonne écoute !   queen

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