On se demande en effet quel est le message qui est envoyé aux proches des victimes, à la société et au condamné lui-même.
Je ne vais même pas entrer dans le sujet pour ou contre la peine de mort pour les pédocriminels. Tout un chacun qui a lu mes messages sait que je préférerais les voir sur la planche à bascule. Mais soit, disons que l'essentiel est que la société soit protégée de ce genre d'individus, donc s'ils prennent perpète, admettons.
Mais qu'il puissent vivre dans un environnement familial, avoir des relations intimes et même des enfants...question éthique on marche vraiment sur la tête.
Nous avons des cas similaires (sans possibilité de vie familiale mais dans un cadre de vie fort accueillant) avec Anders Breivik, le tueur néo-nazi d'Utoya ou Marc Dutroux, le pédocriminel belge. Ils ont la télé, un accès (limité) à internet, un vélo d'appartement et autres commodités, mais ont le culot de se plaindre de leur isolement haute sécurité comme d'un "traitement inhumain et dégradant"!
Breivik a même obtenu d'avoir des perruches pour se sentir moins seul!
Ces esprits cliniquement pervers se servent de nos lois protégeant les droits humains pour faire les pleureuses et obtenir des avantages. Si encore on les forçait à travailler un minimum en effectuant des tâches positives pour la société (c'est possible même en isolement) mais non, c'est la cage dorée.
Je ne dis pas qu'il faut revenir aux cachots, aux chaînes, au pain sec et à l'eau (quoique!), mais il y a quand même des limites!
Je n'ose même pas imaginer l'état mental des proches des victimes de Lelandais. Comment pouvoir faire son deuil dans ces conditions. Impossible!
Histoire écoeurante.
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