Nicolas Roch

Sa veuve : son épouse ou sa guillotine ?

Wahou !!!
Vous avez lu l'acte ?

"(...) Sieur Nicolas Roch, (...) exécuteur des hautes œuvres, (...)"

Je m'étais demandé ce qu'on mettait comme métier. C'est vrai que par la suite, les exécuteurs avaient un vrai métier à côté, une couverture.

niavlys1980 a écrit:

Après la mort de Nicolas ROCH, sait-on ce qu'est devenue sa veuve ?

D'après Delarue, sa veuve (55 ans) se vit attribuer en 1879 (N.Roch était décédé le 25/04/1879), sans qu'une date plus précise soit donnée, un secours annuel de 500 francs.Pour mémoire, son successeur L. Deibler touchait en 1879 6000 francs de gages annuels - hors "abonnement", donc - payables par douzièmes.
Bonne soirée !

ancien a écrit:

La preuve est faite , que les familles de boureaux se mariaient entre elles

Heureusement !!! Ce qui permet de les suivre à la trace sur plusieurs siècles
Pour en revenir à N. Roch, l'un de ses fils (Henri) fut exécuteur en Algérie.C'était le parrain de F. Meyssonnier, qui en dresse un portrait très intéressant dans ses souvenirs.
Bonne journée !

niavlys1980 a écrit:

En effet, je dispose également de l'ouvrage sur Fernand MEYSSONNIER.

Cher et illustre confrère, je n'en ai jamais douté une seule seconde
A bientôt

On constate une diminution du nombre des exécutés au fil des ans.

1872 = 25
1873 = 19
1874 = 13
1875 = 10
1876 = 10
1877 = 10
1878 = 9

N. Roch effectue sa dernière exécution le 18-12-1878, à Alençon (Orne) sur Aimé-Ernest Mautin.

Bonsoir à toute l'équipe !!!
Mon cher Mercattore, salut et fraternité  
N. Roch a officié 10 fois un lundi, du 22/04/1872 (Aix-en-Provence) au 18/03/1878 (Evreux), selon le "Palmarès", qui est indiscutable ...
Dommage que son mot manuscrit ne soit pas daté, nous aurions pu savoir qui était le "client"...
Bonne soirée !

"l'ouvrage"  . C'était donc le meilleur ouvrier de France, dans son domaine.

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k131101v/f1.image.r=Nicolas%20Roch,%20ex%C3%A9cuteur%20des%20arr%C3%AAts.langEN

piotr a écrit:

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k131101v/f1.image.r=Nicolas%20Roch,%20ex%C3%A9cuteur%20des%20arr%C3%AAts.langEN

Merci, piotr !!!   

Belle découverte, Piotr.   

Article du samedi 26 avril 1879 dans le Figaro.

A noter le qualificatif "continent français". Que la France était grande en 1879  

Léopold Laurens a-t-il réellement rencontré Heidenreich et Roch : personnellement, je n'y crois pas.

Pas de trace de Nicolas Roch au cimetière de Saint-Ouen.

0 pointé (ou presque ?)

D'après ce que j'ai pu lire , il été très humain

smic77230 a écrit:

Pas de trace de Nicolas Roch au cimetière de Saint-Ouen.

Honte à moi , sans doute n'avais je pas les yeux en face des trous...


Je rectifie donc : Nicolas Roch a bien été inhumé dans ce cimetière, le 26 avril (lendemain de son décès)  :




Dernière ligne :





Pour information, la 2nde inhumation du 22 octobre 1888 est celle de son fils François Constant qui, décédé le 12 janvier 1883 et enterré dans un premier temps au cimetière de la Chapelle le 14, alla donc rejoindre son père à St Ouen cinq ans plus tard.


Opération du 26 février 1890 :

Sur Wikipédia est consacré un long article à cet exécuteur. Un extrait nous intéresse, c’est une deux!ème source sur l’existence d’un carnet d’exécution tenu par M. Roch : « Roch coupe environ une tête par mois, et tient sérieusement à jour un carnet où il note, au jour le jour, les affaires qui s’achèvent entre ses mains (N3). »
Lisons en bas de page le renvoi N3 : « Indiqué dans « Les 78 têtes de M. Roch », Le Figaro,‎ 20 mars 1878. »
Donc, même source que celle indiqué par smic : Le Figaro.
Mais qui donc dans ce journal était spécialisé dans les compte-rendus d’exécutions capitales par la Veuve ? C’était M. Georges Grison.

Apparement, l’unique source de cette liste, de ce carnet, rédigé, parait-il, par Nicolas Roch, était celle M. Georges Grison. Affabulait-t-il ? En tous cas, aucune autre source que la sienne, sur l’existence de ce document, n’a été signalée jusqu’à présent, semble-il !
En 1883, paraissait, ses Souvenirs de la place de la Roquette, . Quand on les consulte, on trouve (pages 27 à 30) la liste des condamnés guillotinés par M. Roch, en tant qu’exécuteur en chef.
Cette liste commence le 4 avril 1872 (exécution de Louis Bourgogne, à Troyes, Aube) et s’arrête le le 7 septembre 1878) (double exécution, Aimé Barré et Paul Lebiez, place de la Roquette), pour un total de 82 exécutions. D’après le Palmarès de Sylvain Larue, il en manque six !
Pour un carnet, tenu scrupuleusement, M. Roch manquait singulièrement d’exactitude ! Avait-il des trous de mémoire ? Ou M. Grison, peut-être ?

Dans ses Souvenirs de la Roquette sont également mentionnées les exécutions de N. Roch en tant qu’adjoint de l’exécuteur Louis Heidenreich. La liste comporte dix exécutions. Quatre noms de guillotinés sont erronés :
- 30 janvier 1872. Antoine Ondé (à Saint-Bonnet). Cantal.
Le Palmarès de Sylvain Larue indique : Ondet
- 19 février 1872.  Guillard, Guillot, Proust (à Chartres). Eure-et-Loire.
Le Palmarès indique : Guénard, Quillou, Prouste.

                                      ————————————
Un extrait de Souvenirs de la place de la Roquette  :
« La dernière exécution que Roch ait faite comme exécuteur de province, est celle du parricide Bellière, celui qui, suivant sa propre expression avait retourné son couteau dans le coeur de son père comme une motte de beurre.
Elle eut lieu le 21 janvier 1869, à Beauvais. »
De fait, exécution le 21 janvier 1870 !
Pas très sérieux, M. Grison.

LIRE > Souvenirs de la place de la Roquette (1883), mis en ligne par gallica.bnf.fr  : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56243253/f3

Du même auteur > Paris horrible et original (1882), par gallica :  https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57732556.r=paris%20horrible%20et%20origialgeorges%20grison%20georges%20grison?rk=21459;2[/b]

La sinistre aux cinq dalles. Elle en a vu des têtes.

Bonjour à tous !

Je fais des recherches généalogiques sur les bourreaux depuis un certain nombre d'années. Mon arrière-grand-mère s'appelait Élisabeth Roch, et j'ai pour projets depuis quelques années maintenant de reconstituer l'ensemble de la descendance de la famille Raach/Roch.

Je pense avoir découvert quelque chose sur Nicolas Roch qui me semble-t-il avait jusque là été ignoré ?


Ce qui m'a mis la puce à l'oreille est l'article de journal du Figaro pour la mort de Nicolas Roch posté sur ce fil par pmoy en 2012. J'ai retrouvé l'original et y figurent effectivement parmi les présents aux funérailles : "les trois fils Constant, Léon et Henri dont le plus jeune a 12 ans" (13 ans en vérité), "M. B. gendre du défunt" (en principe Léon Berger, époux de sa fille Olympe et inventeur du dernier modèle de guillotine), "Mme B., et Mlles Marie, Octavie et Laure ses filles".

Logiquement "Mme B." est madame Berger, née Olympe Marie Roch, la fille aînée de Nicolas Roch et de Claire Hermann. Octavie et Laure sont ses deux filles plus jeunes et connues. Mais je me demandais qui était Marie. Le couple a effectivement eu deux filles entre Olympe et Octavie, Marie Eugénie et Victoire Julie Roch, mais elles sont toutes deux décédées jeunes à Amiens.

Cette remarque étrange d'une fille supplémentaire au couple m'a rappelé la biographie officielle de Nicolas Roch réalisée en 1873 par Léopold Laurens quand il venait d'être nommé à Paris, et qui était floue sur le sujet. Il y écrivit "Nicolas Roch est marié et père d'une nombreuse famille : quatre garçons et quatre filles". La page Wikipédia elle-même de Nicolas Roch mentionne : "[le] nombre de leurs enfants, huit en 14 ans : trois fils et cinq filles". Cette remarque n'est pas sourcée mais est complétée par les dates de naissance de Léon et Henri, ses deux fils les plus jeunes.

Léopold Laurens ajoute en outre dans sa biographie : "[le] ménage, parfaitement secondé par la fille aînée du maître, une charmante personne de vingt-cinq ans environ, sur la physionomie de laquelle se trouve répandu un voile de tristesse que semble ne devoir jamais l'abandonner" ; "des enfants de Roch, un seul a des dispositions à succéder à son père : c'est le troisième, un beau garçon de dix-neuf ans qui, pour l'instant, fait de l'horlogerie, mais qui accompagne l'exécuteur dans ses nocturnes et sanglantes sorties" ; "l'aîné, soldat dans l'armée d'élite du génie, jouira sous peu de son congé, mais il est peu présumable qu'il se retire dans sa famille, il restera sans doute à Arras, actuellement son lieu de garnison, et s'y fixera définitivement comme charpentier-mécanicien".

Tous ces détails semblent contradictoires avec ce qui est connu des enfants de Nicolas Roch. En 1873, la fille aînée de la fratrie, Olympe, n'a que 17 ans. Si l'erreur entre 17 et 25 ans est possible, elle semble toutefois un peu excessive ici. Quand au "troisième" des garçons, il s'agit d'Henri Roch qui n'a alors que 8 ans, la confusion est impossible. Si l'on ne prend que le troisième des enfants sans distinction de sexe, alors c'est Léon, qui a 15 à 16 ans, soit tout de même moins que 19 ans. Si l'erreur me paraît ici moins excessive, elle est toute de même curieuse. L'aîné, Constant Roch est resté célibataire toute sa vie, mais il est devenu très tôt marchand de glaces et chapelier à Paris. Étant resté dans sa famille, il ne correspond pas vraiment au mécanicien-charpentier décrit par Laurens, d'autant qu'il n'a alors que 18 ans, ce qui est un tout petit peu jeune pour être en garnison.


J'ai donc recherché à Paris, Amiens, Aguilhe (lieu de mariage de Nicolas Roch et Claire Hermann) et le voisin Puy-en-Velay où vivait la famille Hermann, et bien-sûr Lons-le-Saunier où exercait Nicolas Roch avant, mais je n'ai trouvé aucun enfant Roch supplémentaire.

J'ai alors feuilleté les recensements d'Amiens dans les années 1850, et effectivement, Nicolas et Claire vivent en 1856 avec leur fils aîné, Constant, mais également deux enfants "adoptés", Louis Nicolas Polliac et Marie Louise Polliac, dont les âges correspondent parfaitement à la description donnée par Laurens.

Après plusieurs recherches, j'ai découvert que leur nom de famille est en fait Poliach, et qu'ils sont tous les deux nés à Lons-le-Saunier en 1845 et 1848, de Marguerite Rachas, domiciliée à Lons-le-Saunier (d'abord 6 rue du Charron puis 28 ou 29 rue Saint-Lazare) et de Pierre Auguste Poliach, "tisserand résidant à Mende (Lozère)" et n'étant pas présent à une seule des naissances. Naît aussi à Lons-le-Saunier une Rosalie Poliach qui décède quelques mois après.

Marguerite Rachas a épousé Pierre Auguste PAULHAC (et non Poliach) à Mende en 1829, de qui elle a eu 5 enfants à Mende entre 1830 et 1839, dont seuls deux survivent. Après 1839, plus de trace de Marguerite à Mende, qui décède en fait à Lons-le-Saunier en 1850, toujours domiciliée rue Saint-Lazare. Pierre Auguste Paulhac reste à Mende et y décède à l'hospice en 1863.


Au vu de ces éléments et également du deuxième prénom de Louis Nicolas Poliac, j'en déduis qu'il est très probable que Marguerite Rachas ait quitté son époux et ses enfants et ait entammé une relation adultérine avec Nicolas Roch lorsqu'il est revenu dans sa famille à Mende au début des années 1840, après avoir été provisoirement exécuteur à Carpentras. Ils sont partis ensemble à Lons-le-Saunier où a exercé par la suite Nicolas, et où ils ont eu trois enfants naturels dont deux survivants, déclarés par la loi du nom de l'époux de Marguerite, avant que Marguerite ne décède en 1850. Nicolas Roch va ensuite se marier en Haute-Loire avec sa cousine Claire Hermann en élevant avec elle les deux enfants qu'il a eu de sa précédente concubine, et avec qui il ira à Amiens puis à Paris.

Louis Nicolas Poliach est effectivement à Arras dans les années 1870 comme le disait Laurens. Il y épouse Flore Isabelle Mouton en 1876 et finira sa vie à Denain, vraisemblablement sans enfants. Selon l'article du Figaro, il n'est pas présent aux funérailles de son père "biologique", peut-être un conflit familial ? Les frères de Claire Hermann qui vivent assez loin ont fait le chemin.

Marie Louise Poliach reste à Paris et se marie avec Arthur Gustave Salemoen de Dunkerque au 11è arrondissement à 38 ans en 1886. Ils n'ont également a priori pas d'enfants.


J'espère que mon message n'est pas trop hors de propos, je pense qu'il permet d'apporter un regard différent sur Nicolas Roch, sa personnalité et sa vie !

Un grand merci très tardif pour votre message, Xath. Très belles trouvailles !

NICOLAS ROCH Monsieur de FRANCE


Né le 4 janvier 1813 (lundi) - MENDE LOZERE
Décédé le 24 avril 1879 (jeudi) - PARIS, à l'âge de 66 ans
BOURREAU

Parents
FRANCOIS ROCH, né le 5 décembre 1785 (lundi) - COMMERCY, décédé le 29 avril 1848 (samedi) - MENDE à l'âge de 62 ans, Bourreau ACCESSOIREMENT
Marié avec
MARGUERITE HERMANN ouH ERMANT

Union(s) et enfant(s)
Marié en 1853, LE PUY EN VELAY 43, avec CLAIRE CELESTINE HERMANN ou HERMANT, née en 1825 - sans doute en MOSELLE (voir note) dont
H FRANCOIS CONSTANT ROCH 1854-
H LEON DESIRE ROCH 1857-
H HENRY ROCH 1865-1956

Fratrie
H NICOLAS ROCH 1813-1879 Marié en 1853, LE PUY EN VELAY 43, avec CLAIRE CELESTINE HERMANN ou HERMANT 1825
F CHARLOTTE ROCH 1814-1838/ Mariée le 5 novembre 1838 (lundi), MENDE, avec LEONARD RICHIN 1785-1866

Notes
Notes individuelles
FAMILLE DE BOURREAUX

NOMME BOURREAU LE 12 aout 1843 A PROC2D2 SELON SES COMPTES A 87 EXECUTIONS A LOUPE EN PARTIE celle de CLAUDE DEMONTCHARMONT de saint prix l'a fait en 2 FOIS ET AVEC DE L AIDE DE LOUIS ANTOINE STANISLAS DESMORET AUTRE BOURREAU

Notes concernant l'union
Le couple a eu 8 ENANTS dont 2 on été bourreaux

Rechercher les actes correspondants

Aperçu de l'arbre
Arbre d'ascendance Arbre de descendance Arbres imprimables
FRANCOIS ROCH 1726-1759 FRANCOISE SOPHIE WOLFF 1732
|
8 |
9

|
JEAN PIERRE ROCH 1758-1789 MARIE ANNE NANNE 1754-1786/
|
4 |
5

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FRANCOIS ROCH 1785-1848 MARGUERITE HERMANN ouH ERMANT
|
2 |
3
|
NICOLAS ROCH 1813-1879


J'ai trouvé ceci sur Généanet , si cela peut aider .

Topaz a écrit:

NICOLAS ROCH Monsieur de FRANCE


Né le 4 janvier 1813 (lundi) - MENDE LOZERE
Décédé le 24 avril 1879 (jeudi) - PARIS, à l'âge de 66 ans
BOURREAU

Parents
FRANCOIS ROCH, né le 5 décembre 1785 (lundi) - COMMERCY, décédé le 29 avril 1848 (samedi) - MENDE à l'âge de 62 ans, Bourreau ACCESSOIREMENT
Marié avec
MARGUERITE HERMANN ouH ERMANT

Union(s) et enfant(s)
Marié en 1853, LE PUY EN VELAY 43, avec CLAIRE CELESTINE HERMANN ou HERMANT, née en 1825 - sans doute en MOSELLE (voir note) dont
H FRANCOIS CONSTANT ROCH 1854-
H LEON DESIRE ROCH 1857-
H HENRY ROCH 1865-1956

Fratrie
H NICOLAS ROCH 1813-1879 Marié en 1853, LE PUY EN VELAY 43, avec CLAIRE CELESTINE HERMANN ou HERMANT 1825
F CHARLOTTE ROCH 1814-1838/ Mariée le 5 novembre 1838 (lundi), MENDE, avec LEONARD RICHIN 1785-1866

Notes
Notes individuelles
FAMILLE DE BOURREAUX

NOMME BOURREAU LE 12 aout 1843 A PROC2D2 SELON SES COMPTES A 87 EXECUTIONS A LOUPE EN PARTIE celle de CLAUDE DEMONTCHARMONT de saint prix l'a fait en 2 FOIS ET AVEC DE L AIDE DE LOUIS ANTOINE STANISLAS DESMORET AUTRE BOURREAU

Notes concernant l'union
Le couple a eu 8 ENANTS dont 2 on été bourreaux

Rechercher les actes correspondants

Aperçu de l'arbre
Arbre d'ascendance Arbre de descendance Arbres imprimables
FRANCOIS ROCH 1726-1759 FRANCOISE SOPHIE WOLFF 1732
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8 |
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JEAN PIERRE ROCH 1758-1789 MARIE ANNE NANNE 1754-1786/
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FRANCOIS ROCH 1785-1848 MARGUERITE HERMANN ouH ERMANT
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NICOLAS ROCH 1813-1879


J'ai trouvé ceci sur Généanet , si cela peut aider .

Mauvaise pioche...


Nicolas Roch n'est pas décédé le 24 avril, mais le lendemain.

Il ne s'est pas marié au Puy-en-Velay, mais dans la commune d'Aiguilhe (voir le 1er message sur cette page)

Ledit mariage a été célébré le 14 septembre 1852, et non en 1853.

La mariée est née au Puy-en-Velay, et non dans la Meuse.

Par ailleurs, Nicolas Roch n'a pas pu "louper" l'exécution de Claude Montcharmont (et non Demontcharmont), le 10 mai 1851 pour la simple et bonne raison que ce n'est pas lui qui devait officier ce matin-là, mais l'exécuteur de Dijon, Louis Dollé. Devant la résistance du condamné, Roch fut au contraire appelé en renfort pour que le supplice puisse avoir lieu l'après-midi.

Décidément...

Bon , lol ce n'est pas mon jour , mais j'aurais au moins essayé ?