Bonjour,
Dans mes recherches, j'ai rencontré un fils de bourreau, époux d'une fille de bourreau, qui, en attendant de reprendre la charge de son père, a exercé la profession de musicien et maître de danse dans les années 1833-34 dans une ville de province.
Quelqu'un a-t-il déjà rencontré un cas similaire ? N'est-ce pas une profession étonnante quand on connaît l'exclusion dont ils étaient victimes de la part du commun des mortels ? J'ajoute que ce maître de danse résidait chez son beau-père, en exercice...
Merci d'avance de vos réponses...
Marsillat