Pour ne pas encombrer... pas très loin dans l'Etat du Vanuatu...La peine de mort envisagée au Vanuatu article du 12 juillet 2013
Plusieurs meurtres sordides ont secoué la population du Vanuatu les semaines passées. Deux dans la capitale Port vila, et un sur l’île d’Aneityum. Ce qui est un triste record pour le pays qui jouit habituellement d’un climat beaucoup plus paisible
Une manifestation a eu lieu lundi dernier dans les rues de la capitales pour protester contre cette violence, et demander aux chefs et au gouvernement de réagir et punir les coupables. Le gouvernement du Vanuatu en la personne du ministre de la justice, Mr Yatan, a donc envisagé d’instaurer la peine de mort pour punir les coupables de ce genre de crimes.
Une jeune femme de 21 ans, enceinte, a été brutalement assassinée par le père de son enfant, suite à une dispute concernant une autre femme. Un jeune homme a tué sa compagne sur l’île d’Anatyum, et des hommes ivres s’en sont pris à un citadin qui leur demandait de faire moins de bruit dans une rue dans les environs de Port Vila.
Au Vanuatu la peine de mort n’existe pas, mais devant l’augmentation des crimes dans l’archipel, le ministre pense qu’il serait peut être nécessaire de mettre en place une telle mesure de répression, comme en Papouasie Nouvelle Guinée.
A ce jour les criminels sont enfermés dans la prison de haute sécurité de la capitale. Régulièrement les prisonniers s’en échappent, et sèment la panique dans les quartiers de la ville, jusqu’à ce que les forces de police, aidées de la population arrivent à les rattraper et les remettre derrière les barreaux.
Une telle mesure de répression, si elle est draconienne, aurait peut être l’impact espéré sur le comportement criminel de certains, qui se verraient dans l’obligation de respecter les lois.
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