La meilleure exécution est celle que l'on ne voit pas venir.
Ainsi, sous la période communiste la Bulgarie avait inventé un faux photomaton où l'on installait le condamné en lui disant qu'on avait besoin de le photographier.
En réalité, à la place de l'objectif il y avait une arme à feu et le détenu se faisait ainsi "brûler la cervelle" sans ressentir aucune appréhension.
Même chose, quand on amenait le détenu dans un couloir et où, caché derrière un pilier, surgissait de derrière un gardien qui tirait dans la nuque du détenu, sans que celui-ci ait eu le temps de réaliser ce qui lui arrivait.
Ou alors, la pilule de cyanure que l'on donne à avaler au condamné. Dans ce cas, c'est lui qui se donne la mort.
Apparemment on ne souffre pas.
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Potius mori quam foedari