Eugène Weidmann - 1939

" La Porte pour aller, et ne jamais revenir "........Si les pierres pouvaient parler !

 

Plus images d'autre source :

Moro-Giafferi réfléchissante, la preuve est accablante, vient de perdre autre procès....
Il pense ; Maintenant, qui me paie mes frais d'avocat ?



À la recherche des corps......



Interrogatoire de Collette Tricot, le 2 Avril 1939.



Image:http://www.spiegel.de/

Plusieurs :

Roger Million, prêt à entrer dans la Cour.
Le prophète Jérémie ( Au fond ), toujours apparaît, même en la soupe.



Une foule de curieux dans la maison de Saint-Cloud.



Vu de l'extérieur de la maison.




Image:http://www.spiegel.de/

Plusiers:

Tout le monde veut voir le meurtrier.....




Le Banc des Accusés, Colette Tricot c'est visible à droit.
( Au-dessous ) Le avocat barbu, comme toujours omnipresent !




" Le Dernier Acte " ( Bien connu, mais de haute qualité d'image ).




Image:http://www.spiegel.de/ et-http://murderpedia.org/

Très curieuse, cette dernière photo: on y voit une sorte de planche sur la partie gauche de la machine, sous l'endroit où est mis le condamné. Or, normalement il n'y a rien d'autre à cet endroit que le "pied" de la machine destiné à supporter la planche (je ne sais pas si je me fais bien comprendre).

Une idée?

C'est la porte de la prison de Versailles ?

Oui, c'est la même.
Mais aujourd'hui, n'est pas une prison.

Palais de justice ?

En effet. La prison de Versailles était, comme beaucoup de maisons d'arrêt de l'époque, collée au tribunal. Désaffectée, ses murs hébergent désormais la cour d'appel.

Merci pour cette précision

Weidmann arrêté et blessé.



Roger Million dans la caverne des brigands, Fontainebleau.



Mme Weidmann, aprés avoir eu une entrevue avec son misérable fils sort du Palais de Justice de Versailles.





Image:http://galleryhip.com

CARNIFEX a écrit:

Très curieuse, cette dernière photo: on y voit une sorte de planche sur la partie gauche de la machine, sous l'endroit où est mis le condamné. Or, normalement il n'y a rien d'autre à cet endroit que le "pied" de la machine destiné à supporter la planche (je ne sais pas si je me fais bien comprendre).

Une idée?

Cette planche est apparue vers 1930 (Gorguloff par exemple) et on la voit meme dans les photos de Ker en 1981 (Fresnes)
Il s'agit d'une simple planche reposant contre le support de la bascule mais qui empeche de voir sous la machine. Apport probablement dans le but de rendre les executions plus "respectables". Un premier pas vers les executions cachees sous un dais noir dans une cour de prison au milieu de la nuit...

 Pour ceux qui sont intéressés par cette affaire, je signale une émission de télévision qui lui sera consacrée, diffusée lundi 22 décembre à 20 H 45 et de nouveau lundi 29 décembre à 18 H 55 sur la chaîne "planète + criminalité et investigations" :
http://television.telerama.fr/tele/documentaire/des-crimes-presque-parfaits,5053536,emission86709344.php

Pour ceux qui ne pourraient pas regarder l'émission sur cette chaîne payante, je vais mettre, durant les vacances de Noël, la partie d'émission où je suis interviewée, sur mon blog :

eugenweidmannvuparunepsychiatre.com

Bonnes fêtes de fin d'année à tous,

Catquart

Je vais regarder donc!

Merci de penser à nous...................

Joyeux Noel.

merci joyeux noël à vous aussi,
Catquart

Merci catquart pour cette importante info.  

Eugène Weidmann est parmi les tueurs qui me déconcertent : je ne comprends pas quelles étaient ses motivations. Il possédait tous les atouts qui permettent d'épanouir une vie et qui font cruellement défaut au commun des mortels : enfance choyée, culture, beauté, éducation, élégance...  
Psychopathe à coup sûr, il n'a cependant tué ni par intérêt (des "butins" dérisoires), ni pour assouvir des pulsions perverses (des crimes "propres", exempts de sadisme : une balle dans la nuque). Quel gâchis !

Nous nous sommes débarrassés de notre poste de télé depuis un bout de temps déjà (deux, trois émissions intéressantes par an...). Est-ce qu'il est possible de revoir l'émission sur la chaine "planète + criminalité et investigations" ?
Joyeux Noël à vous !    

Bonsoir chère Madame,
A ma connaissance, l'émission va passer au mois deux fois sur planète + criminalité et investigations, ce lundi 22 décembre à 20 H 45, le lundi 29 décembre à 19 H 5O et il m'avait semblé une troisième fois durant la nuit vers une heure du matin mais je ne retrouve pas cette dernière information.

je ne vais d'ailleurs pas la voir moi non plus ayant la même position que vous concernant la télévision, mais j'ai la permission de mettre sur mon blog la partie de l'émission qui concerne mon propre interview (pas plus car la chaîne est payante…) ce que je compte faire durant les vacances de Noël et vous pourrez donc trouver ces informations sur :
eugenweidmannvuparunepsychiatre.com, ainsi que d'autres éléments de mes recherches sur ce sujet .

Dr Catherine CARRE-ORENGO (Catquart)

Bonjour Catquart,

Je suis abonnée à votre blog depuis hier : un blog à visiter sans modération. C'est avec beaucoup d'impatience que j’attends la diffusion de votre interview.

Cordialement.

merci,
c'est super gentil de me faire ce retour, j'apprécie,
je vais tâcher déjà d'alimenter plus régulièrement le blog en pensant aux gens comme vous qui s'y intéressent mais c'est un peu difficile en termes de timing en plus des journées de travail déjà bien pleines…
a bientôt et encore merci pour vos encouragements,

catquart

On peut revoir l'émission  "Des crimes presque parfaits" consacrée à l'affaire Eugène Weidmann par ce lien :

https://www.dailymotion.com/video/x2dfnpv_affaire-eugen-weidmann-des-crimes-presque-parfaits-s02e01_lifestyle

Je mets l'info en ligne avant même d'avoir vu l'émission : le lien pourrait disparaitre.

Merci catquart pour cette précieuse information.
 

pour ceux que l'affaire Weidmann intéresse, mon blog dont parle si chaleureusement adélayde s'intitule "eugenweidmannvuparunepsychiatre.com".

Bonne lecture à tous,

Catquart

Une émission très intéressante et bien documentée.
Excellentes prestations de Catquart et de Sylvain !  

Eugen Weidmann et l'avocat Abbecassis.



Jean de Koven.



Weidmann en détention par la police.



Image:http://www.tipsimages.it/

Deux pages à l'intérieure d'un Petit format.

Un Petit format vendu par les chanteurs de rues « permissionnés » *. Editeur Lucien Cotté, 9 rue André Messager - Imprimerie Gutenberg, 17 rue des Cloys, Paris 18ème. Les textes sur Weidmann dont en double page intérieure. Sur la première de couverture ne figure qu’un banal dessin sous le titre : LES POESiES SOCIALES DE GABRIEL ZALLAS - Tant qu’il y aura des Cagoules et Margot, fille-mère . Il faut donc ouvrir le livret pour savoir que deux pages sont consacrées à Weidmann.

Format 28cm x 35cm. 1938. Deux textes de Lucien Cotté sur l’affaire Eugène Weidmann.
Pouvaient être chantés :

1. Sur l’air (Eugène Feautrier) de La Paimpolaise, popularisée par Théodore Botrel.      
2. Sur l’air de Du gris , de Louis Benech et Ernest Dumont.

Berthe Sylva : Du gris , enregistré en 1931 : https://www.youtube.com/watch?v=hU2jpUPz_cg  

(chanson reprise, entre autres, par Germaine Montéro, Georgette Plana, Renaud).

A Paris, les chanteurs de rues « permissionnés » gagnaient leur vie avec la vente des petits formats. Ils ne devaient pas passer le chapeau ou essayer de récolter de l’argent par tout moyen de quête, la recette ne devant provenir que de la seule vente de ces petits formats.
Les chanteurs « libres », eux, travaillaient sans permission et récoltaient des pièces de monnaie dans les rues, dans les cours, où les habitants leur jetaient leur obole par la fenêtre, enveloppée dans du papier journal. Ils se produisaient souvent à deux — Dans les cours l’un chantait (très souvent une femme) pendant que l’autre courait pour ramasser les pièces jetées çà et là. Parfois l’homme accompagnait musicalement le femme qui chantait et le ramassage des pièces se faisait après la chanson —  Aux portes de Paris, dans les cités ouvrières, les chanteurs de cours ont perduré jusqu’aux années 60, mais il n’y avait plus alors, en général, qu’un seul musicien (accordéoniste) qui, très souvent, ne chantait pas.

* Permission délivrée par la Préfecture de police de Paris.