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Sujet: Re: Christian Ranucci - 1976 Lun 6 Nov 2017 - 23:15
L'affaire Vincent Gallardo n'a semble-t-il jamais été élucidée.
_________________ "Les humains, pour la plupart, ne se doutent de rien, sans envie ni besoin de savoir, ça leur va comme ça, ils croient avoir de l'emprise sur les choses. - Mh... pourquoi en avoir fait un secret ? Ils peuvent comprendre, ils sont intelligents... - Une personne, sûrement, mais en foule, on est cons, on panique comme une horde d'animaux, et tu le sais."
mitchou34 Bourreau départemental
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Sujet: Re: Christian Ranucci - 1976 Jeu 9 Nov 2017 - 15:49
Cette affaire Gallardo n'a en effet jamais été élucidée.J'ai cependant lu dans le quotidien jurassien l"Impartial"(je ne sais si ce journal parait toujours)daté du 24 juillet 1976 qu'un individu,fortement soupçonné de ce crime avait été appréhendé dans la région de Toulon peu après cet horrible forfait.Cette arrestation n'a donc pas été probante.....
guy Aide confirmé
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Sujet: bonjour Sam 20 Oct 2018 - 16:40
pour quoi arracher les jambes pour les executions priver alors que publique ont les faisais marcher
giulio Bourreau de village
Nombre de messages : 52 Age : 44 Localisation : Versailles Emploi : Spécialiste Excel Date d'inscription : 29/06/2017
Affaire Ranucci : une jurée raconte sa vie après la mort
Citation :
En 1976, Geneviève Donadini a fait partie des douze personnes ayant scellé le sort d’un des derniers condamnés à la peine capitale en France pour le meurtre d’une petite fille. Aujourd’hui âgée de 76 ans, elle évoque dans un livre «le poids de la culpabilité» et appelle à une meilleure prise en charge du jury d’assises.
Un si long silence ne s’interrompt pas facilement. Assise dans le coquet salon familial, Geneviève Donadini réfléchit souvent, cherche ses mots, les pèse aussi, pour ne pas enfreindre la loi. On ne peut pas tout dire lorsque l’on a été jurée d’assises, même quarante ans après. Le secret des délibérations, dit le code de procédure pénale, ne doit jamais être rompu, sous peine d’une sanction pouvant aller jusqu’à 15 000 euros d’amende et un an d’emprisonnement.
Dans le livre qu’elle vient de publier (1), Geneviève Donadini ne dit donc rien du huis clos étouffant qu’elle a vécu ce 10 mars 1976 dans une salle de la cour d’assises d’Aix-en-Provence. Elle ne dit pas non plus combien de jurés exactement ont voté la peine de mort pour Christian Ranucci, qui comparaissait pour le meurtre d’une petite fille à Marseille. Mais à 76 ans, la dame discrète s’autorise enfin à raconter le reste : comment une jeune femme ignorant tout du monde de la justice a hérité, avec huit autres jurés, du droit de vie ou de mort sur un garçon de 22 ans. Et comment cet épisode douloureux l’a accompagnée silencieusement durant toute sa vie.
Croix autour du cou C’est par une convocation à la gendarmerie, en février 1976, qu’elle apprend la nouvelle : son nom a été tiré au sort pour la prochaine session d’assises, qui débute trois semaines plus tard. Pour «rendre service», Geneviève Donadini, alors jeune élue à la mairie de La Penne-sur-Huveaune, près de Marseille, avait accepté de figurer parmi les personnes susceptibles d’être appelées comme juré. A l’époque, c’est l’édile qui a la responsabilité de fournir chaque année à la justice une liste de personnes disponibles. «C’était toujours un problème pour le maire, se souvient Geneviève Donadini. Beaucoup refusaient… Moi, j’ai dit oui sans hésiter, c’était mon devoir de citoyenne. Mais dans le fond, j’étais sûre de ne jamais être appelée, il y avait des centaines de noms sur la liste du département…» Le gendarme qui la reçoit veut aussi la prévenir : parmi les affaires à juger, il y aura celle impliquant Christian Ranucci. «D’un seul coup, raconte-t-elle, tout m’est revenu en tête.»
Deux ans auparavant, l’histoire avait tourné en boucle dans les médias. Ce matin du 3 juin 1974, Marie-Dolorès Rambla, 8 ans, jouait avec son frère au pied de son immeuble, dans un quartier tranquille de Marseille. Un homme au volant d’une voiture grise les accoste. Il a perdu son petit chien noir. Marie-Dolorès monte dans la voiture pour l’aider à le retrouver. Elle ne reviendra jamais. Le lendemain, la France entière accuse le coup. Geneviève Donadini, alors âgée de 35 ans, a tout de suite pensé à sa petite dernière, qui a presque le même âge que Marie-Dolorès. Elle aussi joue souvent dehors, sur le chemin devant la maison familiale. «Marie-Dolorès, c’était un peu la petite fille de tout le monde», résume-t-elle aujourd’hui.
Lorsque le corps de l’enfant est découvert au bord d’une route, quarante-huit heures plus tard, l’émotion populaire est à peine atténuée par l’arrestation, dans la foulée, d’un suspect. Christian Ranucci, 22 ans, a été aperçu par des témoins le jour de l’enlèvement près des lieux où le cadavre de la fillette a été retrouvé. Il a une voiture grise. Et surtout, il finit par avouer le meurtre, donnant même aux enquêteurs le lieu où est cachée l’arme du crime. «En moins d’une semaine, tout était "réglé", se souvient Geneviève Donadini. Après, je n’y ai plus pensé.» Jusqu’au coup de fil du gendarme.
Le matin du procès, le 9 mars 1976, la jeune femme arrive confiante au palais de justice d’Aix. Le gendarme la rassure : elle devrait certainement être récusée. C’est une femme, une mère de famille, rien de bon pour les avocats de Christian Ranucci qui veulent éviter la peine de mort. A l’époque, l’opinion publique se déchire sur l’affaire et le procès du jeune homme est d’autant plus médiatisé qu’une histoire similaire a émergé quatre jours avant l’audience : Patrick Henri, 23 ans, est arrêté pour l’enlèvement et le meurtre d’un petit garçon à Troyes. «La France a peur», avait déclaré le journaliste Roger Gicquel en ouvrant son journal télévisé. Geneviève Donadini craint que ce climat de tension ne génère des débordements : la jeune jurée est d’ailleurs partie un peu plus tôt de chez elle pour ne pas arriver en retard à l’audience. Elle ne s’est pas trompée : «Les gens étaient agglutinés sur les marches du palais de justice, se souvient-elle. Dans la nuit, les murs avaient été tagués : "La mort !"» Elle parvient à se frayer un passage jusqu’à la salle d’audience. Aux côtés des autres convoqués, elle écoute sagement le président de la cour tirer au sort les noms des jurés. Il suffit qu’un avocat la renvoie d’un simple «récusée» et tout sera terminé. «Quand mon nom est tiré, j’attends… Rien. Le président s’énerve, me dit d’avancer. Alors j’avance, comme dans un rêve. Abasourdie, assommée.» Seule femme du jury, qui compte neuf personnes, elle prend place tout près du banc des accusés. Quand Christian Ranucci entre en scène, vêtu d’un pull bleu flashy et d’une énorme croix autour du cou, l’effet sur le jury est déplorable. «Cette croix… se remémore Geneviève Donadini. Pour moi qui ai reçu une éducation catholique, ça représentait quelque chose…»
«Peloton d’exécution» Durant la première journée d’audience, consacrée au déroulé des faits, la charge émotive est sévère. «Le moment le plus pénible, c’est lorsqu’ils nous ont fait passer la chaussure de la petite fille, tachée de sang… Quel est l’intérêt pour un juré de voir cela ? On juge une personne, pas le crime !» Le comportement du jeune homme, «arrogant, vindicatif, à la limite de la politesse», n’arrange rien. La jeune mère horrifiée s’efforce de contenir ses sentiments. C’est ce que le président de la cour a exigé des jurés, lorsqu’ils ont prêté serment. Ses difficultés, ses émotions, Geneviève Donadini n’en dira mot à ses compagnons de galère. «Peut-être que s’il y avait eu une autre femme dans le jury, je me serais confiée, concède-t-elle avec le recul. Mais c’était comme si on était tous enfermés dans notre mutisme. Comme si ça devenait un problème personnel qu’il ne fallait pas partager.»
Le «problème» en jeu n’est pas la culpabilité de Christian Ranucci. Au moment du procès, personne n’en doute. Ce n’est que deux ans après, lorsque Gilles Perrault pointera les incohérences du dossier dans son livre le Pull-over rouge, que le doute s’installera. Pour Geneviève Donadini comme pour les autres jurés, la seule question qui se pose alors, c’est l’application, ou pas, de la peine de mort. Sans surprise, l’avocat général l’a réclamée dans son réquisitoire. Mais y a-t-il des circonstances atténuantes qui permettraient à Christian Ranucci d’éviter la guillotine ? Après seulement deux jours d’audience, le jury se retire avec cette interrogation. La petite pièce attenante à la salle d’audience a des fenêtres donnant sur la rue. Geneviève Donadini entend distinctement la foule réclamer «la mort ! La mort !» «Il n’y a pas eu énormément de discussions», confie-t-elle sans s’attarder. Le secret des délibérations est préservé : l’ex-jurée n’a jamais dit à personne combien, parmi eux, ont voté la peine de mort ni quel a été son choix personnel. On croit le deviner, entre les lignes de son livre : «Nous nous retrouvions avec ce droit exorbitant, ce droit de vie ou de mort, ce droit de tuer sciemment, de décider que la personne installée sur le banc d’en face allait mourir, écrit-elle. Comment ne pas penser que nous étions là paisiblement, sans armes, dans la position du peloton d’exécution ?» Les délibérations ne durent que trois heures. Lorsque le jury revient dans la salle d’audience, c’est dans un silence de plomb que le président de la cour lit le verdict : parmi les douze votants (les neuf jurés, le président et ses deux assesseurs), «huit au moins» ont opté pour la mort. La foule applaudit. Bouleversée, Geneviève Donadini s’enfuit du palais de justice et pleurera longtemps ce soir-là.
Suivi psychologique Plus d’un an après, lorsqu’elle apprend par la radio que Christian Ranucci vient d’être exécuté, elle s’effondrera à nouveau. «Je pense que je m’étais inconsciemment raccrochée à la possibilité d’une grâce présidentielle», analyse-t-elle. Après cet ultime épisode, la jurée se murera dans le silence. L’histoire ne la quittera pourtant jamais. En 1978, quand le Pull-over rouge paraît, elle le lit d’une traite. Les zones d’ombre mises au jour par l’écrivain la troublent. «Tous ces arguments auraient dû être étudiés à l’audience. Cela aurait été plus simple pour moi, en tout cas…» Et quand la peine de mort est abolie en 1981, elle a une pensée pour ceux «qui n’auront plus jamais à faire ça».
Lorsqu’elle devient maire de La Penne-sur-Huveaune, en 1985, elle aura elle aussi, durant un temps, la lourde tâche de sélectionner les jurés sur les listes électorales. Certes, désormais, la justice a changé. La peine de mort n’existe plus, les condamnés des assises peuvent faire appel du jugement et les jurés ont même droit à une journée de formation. Mais juger les autres reste une épreuve. C’est ce qui a poussé Geneviève Donadini à écrire son livre, comme une ultime thérapie : «Jusque-là, je portais seule le poids de la culpabilité. Désormais, j’ai l’impression de le porter avec d’autres…» remarque-t-elle. Elle espère aussi que son témoignage, rare pour un juré, poussera la justice à changer les règles. En organisant, par exemple, un suivi psychologique. «Le but n’est pas de supprimer les jurys de citoyens, plaide-t-elle. On ne peut pas se passer du bon sens populaire. Il faut juste faire en sorte que les personnes ne soient pas trop abîmées à la fin.»
Tom05000 Aide non qualifié
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Sujet: Re: Christian Ranucci - 1976 Ven 4 Oct 2019 - 20:50
Bonsoir à tous ! Je viens de me procurer l'affaire Ranucci de Jean Louis Vincent. Une personne du forum a-t-il déjà lu ce bouquin ? Au départ je voulais acheter le livre de notre cher administrateur Sylvain sur Desfourneaux mais il était pas disponible
mitchou34 Bourreau départemental
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Sujet: Re: Christian Ranucci - 1976 Sam 5 Oct 2019 - 8:05
Bonjour Tom 05000 et bienvenu au club.Je ne connais pas le bouquin commis par J.L Vincent à propos de l'affaire Ranucci et il n'est pas exclu que je me le procure.Cependant,et comme cette affaire semble vous intéresser,je ne saurai trop vous recommander aussi la lecture du livre de Gerard Bouladou ( un ancien commissaire de police) que j'ai personnellement connu et qui,hélas,est décédé depuis peu. Cet ouvrage d'une grande rigueur épouse une thèse que j'ai fait mienne aussi et qui se situe à des années lumière des contes de Perrault.A savoir;la responsabilité pleine et entière de C.Ranucci dans l'assassinat de la petite Rambla.Ce livre en fait l'implacable démonstration.Cordialement…..
Tom05000 Aide non qualifié
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Sujet: Re: Christian Ranucci - 1976 Sam 5 Oct 2019 - 10:55
Déjà lu lu livre de Perrault et celui de Bouladou. Je penche aussi pour la culpabilité. Triste d'apprendre le décès de Bouladou, il était encore bien jeune.
Nemo Fondateur
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Sujet: Re: Christian Ranucci - 1976 Dim 6 Oct 2019 - 13:59
Pas disponible, le Desfourneaux ?
Les libraires ne peuvent pas le commander ?
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TomAlpes aime ce message
Tom05000 Aide non qualifié
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Sujet: Re: Christian Ranucci - 1976 Dim 6 Oct 2019 - 19:48
J'ai commandé le bouquin du coup. En attendant je me plonge dans le livre sur Ranucci.
Triste affaire.....
Nemo Fondateur
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Sujet: Re: Christian Ranucci - 1976 Dim 6 Oct 2019 - 23:29
Oh que oui...
Tout est tragique dans cette affaire.
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Filomatic Monsieur de Paris
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Sujet: Re: Christian Ranucci - 1976 Lun 21 Oct 2019 - 2:33
Citation :
Déjà lu lu livre de Perrault et celui de Bouladou. Je penche aussi pour la culpabilité.
Toujours j'ai pensé que Perrault ( Le Pull-over Rouge ) était un livre disculpatoire pour Ranucci.....
D'autre part ;
Y a-t-il quelques exemples en France de pardonner ( posthume ) aux condamnés á mort, par erreur de la justice ?
Je me souviens de deux cas en U.K, Timothy Evans et Derek Bentley, pendus pour des erreurs
Tom05000 Aide non qualifié
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Sujet: Re: Christian Ranucci - 1976 Lun 21 Oct 2019 - 7:20
Oui pour l'affaire du courrier de Lyon.
Tom05000 Aide non qualifié
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Sujet: Re: Christian Ranucci - 1976 Lun 21 Oct 2019 - 7:23
Evans était sûrement innocent, les crimes ont été commis par son voisin.
Pour Bentley, condamné à mort pour complicité. Il n'a pas tué. Son complice échappa à la potence car mineur au moment des faits.
mitchou34 Bourreau départemental
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Sujet: Re: Christian Ranucci - 1976 Lun 21 Oct 2019 - 9:13
Concernant Lesurques,et malgré les démarches acharnées de ses descendants,jamais la Justice n'a reconnu son erreur.Si toutefois erreur il y a car certains auteurs,et notamment des policiers qui ont refait l'enquête, penchent pour sa culpabilité.Pour Ranucci,il n'y a que Perrault qui a tenté de faire croire(avec talent)qu'il était étranger à la mort de la petite Rambla;pour ma part je n'en crois pas un mot…...
vivier Bourreau départemental
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Sujet: Re: Christian Ranucci - 1976 Sam 23 Mai 2020 - 19:18
Et pourtant , il y a toujour un doute , pour certains dont je fait parti , l'instruction a été menée exclusivement à charge , mais ceci n'est que ma position personnelle .
cabochard Exécuteur cantonal
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Sujet: christian ranucci Sam 23 Mai 2020 - 21:53
je viens d apprendre qu'on a retrouvé les scellés de de l'affaire RANUCCI,qui avaient été égarés, ce qui devrait permettre de mettre un terme au doute, si il y en a un, à cette affaire, de plus des policiers maintenant en retraite et qui ont eu à s'occuper de de cette affaire à l'époque, et qui peuvent maintenant parler ne laissent aucun doute sur sa culpabilité
vivier Bourreau départemental
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Sujet: Re: Christian Ranucci - 1976 Sam 23 Mai 2020 - 22:58
Les policiers ne sont que des hommes ....
CARNIFEX Monsieur de Paris
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Sujet: Re: Christian Ranucci - 1976 Jeu 28 Mai 2020 - 13:00
Dans ce cas, la justice n'étant rendue que par des hommes ne serait plus possible du tout...
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mitchou34 Bourreau départemental
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Sujet: Ranucci coupable... Mer 17 Juin 2020 - 9:23
Depuis quelques jours je me suis replongé dans le bouquin que Gerard Bouladou ( ancien commissaire décédé l'an dernier et que j'ai personnellement connu)a consacré à l'affaire Ranucci en 2005.Cet ouvrage très fouillé et d'une rigueur extrême renvoie à ses chères études Gilles Perrault et son plaidoyer qui prétend faire d'un assassin d'enfant un parfait innocent qu'on aurait guillotiné en juillet 1976.Le jeu de Lego artificiellement bâtit par Perrault pour innocenter Ranucci vole en éclat à chaque page et je ne saurai trop recommander la lecture du livre de G.Bouladou pour se convaincre définitivement de la culpabilité de Ranucci.Après,fallait il lui appliquer la peine de mort;c'est une autre question…….
PS:j'ai l'impression de remettre une pièce dans le jukebox en remettant le couvert sur cette affaire mais je ne supporte pas les falsificateurs…..
vivier Bourreau départemental
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Sujet: Un nouveau Procès? Sam 3 Juil 2021 - 18:06
Imaginez vous que l'on reface le procès Renucci, sans polémique , juste en quelque phrases , quel serait le verdict aujourd'hui .
Nemo Fondateur
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Sujet: Re: Christian Ranucci - 1976 Sam 3 Juil 2021 - 18:49
Pauvre Robin, j'ignorais. Qu'a-t-il fait pour qu'on le juge ?
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smic77230 Monsieur de Paris
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Sujet: Re: Christian Ranucci - 1976 Sam 3 Juil 2021 - 19:02
vivier Bourreau départemental
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