Je cherche des exemples de condamnés à mort qui ne sont pas laissés faire entre leur réveil et leur passage sur la planche, mais hormis Firmin Cipierre en 1930, pour lequel il faut pas moins de sept personnes pour arriver à le ligoter, et qui mord et griffe tout du long du trajet, et Marcel Delrue en 1952, tel que son exécution est racontée par Maurice Cieutat.
Mais à part ces deux exemples, la grande majorité des condamnés sont plutôt résignés ou "courageux", ou alors complètement effondrés (ils supplient mais ne se battent pas).