A vrai dire, je ne cherchais pas du tout ce condamné sur les registres d'écrou. C'est seulement en voyant le nom que j'ai fait un zoom par curiosité et constaté qu'il s'agissait du futur client parisien de Louis Deibler.
En général, les condamnés à mort ont déjà un passif judiciaire avant de cotoyer la Veuve. Il est donc possible de trouver d'autres cas comme lui.